Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Le petit coin du râleur.

Pages
Le petit coin du râleur.
Archives
Visiteurs
Depuis la création 592
9 septembre 2015

Alors on enménage !

Et oui, j'ai déménagé ! Enfin je suis entrain, et je m'y entraîne ; Vous voudrez bien excuser cette présence quasi égocentrique, bah ! je fais comme nos grandes enseignes je me présente sur plusieurs sites, histoire d'avoir un peu plus de lisibilité....
Publicité
1 janvier 2018

Tiens 2018 !

Bof ! voilà qui ne changera rien,

Les années passent les jours s’écoulent,

Les migrants fuient, les immigrés s’entassent.

Les jours pleuvent leur lot de chagrins. Privé de certitudes.

La terre absorbe, fume et parfois vomit son trop plein,

Comme elle cache ses morts. En fuite, enfouie ; Inconnus.

Ce que les riches entassent ; sur le dos des pauvres.

Justice quand un enfant à froid et meure de faim ?

Et nos dirigeants glosent, et comme les prêcheurs font des simagrées.

 L’homme fort rie et frappe, la femme crie et tempère

Alors ces lendemains promis, ces jours meilleurs.

Le philosophe raille le faible, se vautre dans le modèle établi.

L’économiste tire les marrons du feu, et cherche les bénéfices.

Il impose et sème sa litanie d’ordre. La bourse en profite.

La terre pleure ses misères et inonde tristesse.

À moins qu’un cœur trop sec n’enfume sa lourde carcasse.

On prétend la nourriture trop riche,

 les pauvres fouillent les poubelles.

Vous nous dites bonne année ;  la santé surtout,

Le malade coûte trop cher à notre honorable sécu.

On change rien…

7 novembre 2017

C'est un scandale...!

.Certe je suis un vieux con, et je le revendique.

Désolé, jeunes gens, mais il y à quinze ans, vingt ans, Ces mots résonnaient.

Un certain Georges Marchais Secrétaire du PCF de l’époque aimait comme les journalistes  vitupérer et caractériser les faits de son époque.

Maintenant jeunes, maintenant les anciens, les affaires pleuvent, les faits de sociétés inondent notre sphère médiatique, bien pauvre d’ailleurs et seulement,  toujours  si un, des lanceurs d’alertes à corps défendant « balance » quelques  affaires d’argent.

 Hier : Panama papers,  aujourd’hui Paradise papers, bref l’argent salle, ce papier mal ou trop bien placé qui échappe aux fisc et mettent nos peuples en périls.

Trois petits tours de médias et l’actualité passe.... .Un jour nouveau, Demain ce sera quelle appellation, le principe reste le même, les profits aussi rassurez vous !

Et nos hommes politiques jurant mais un peu tard qu’on ne les y reprendrais plus.

Ben Oui, bien sur, craché juré, si j ment je vais en enfer….

Dormez sur vos deux oreilles, et en paix chers capitalistes, Un journaliste passe, trois petits tours et puis s’en va….

Alors vous aviez dit c’est un scandale…..Il paraît que c’est ça l’Europe…Alors..

 

 

G.B.

28 août 2017

Tu ne seras pas un homme mon fils !

La laïcité devrait être le terreau de la démocratie.

Ou quand celui-ci ne laisse plus pousser que ruines et misères.

Quand nos perspectives ne sont plus que, l’état raquette, ou l’état prison.

Ou l’état de déliquescence, combines et exclusion.

Quand l’avenir, se restreint à leur télé réalité,

Vous réduisant à ces pires jeux de rôles.

Quand votre rêve Internet, défie les consciences,

Et, impose le virtuel au-delà des valeurs.

Le temps de devenir sans avenir, celui des lendemains incertains.

 Quand vos certitudes oppriment les rêves.

Que votre CAC 40 nous transforme en misère.

Et tout votre argent roi, aux dépens des valeurs.

Quand la terre appauvrie ne nourrit plus son homme.

Et vos usines à bestiaux, dénient au temps son savoir-faire.

Quand l’eau des mers et des rivières coule,

Bayer ; Nitrate, pesticides et déchets.

Quand la jeunesse crie son désarroi.

Et que le rêve se shoot, cannabis d’avenir.

Ou que caricature, la rébellion se termine en privation.

Quand vous prétendez la hauteur, en rabaissant les peuples.

Alors que vos banques se servent,et viennent vider nos poches

Alors que nous, on trime, sue ; Crève misère.

Ou défilent rejet, potion magique Pôle emploi.

Que pourtant même les élus filent mauvais coton.

Quand plus fort, les écoles distillent l’exclusion.

Et ne sèment qu’incompréhensions,

Quand vos médias, neutralisent l’opinion.

Et en plus soumission. Paroles de sondeurs.

Quand nos cerveaux sont vidés, nos idées rétrécies.

Que vos dieux imposeront leurs lois.

Quand on bétonne, on bitume les terres.

Tout en faisant pousser l’herbe sur les toits.

 

Alors des prêcheurs disposeront de toi.

Tant que tu ne seras pas éduqué, conquérant et honnête.

Tu ne seras pas un homme mon fils.

 

G.B.

 

 

N B . Ceci est un pastiche du célèbre poème de Rudyard kipling

« Tu seras un homme mon fils. »

18 janvier 2017

Vous avez dit M.Valse !

Pour me reprendre, en son temps j'écrivais déjà :  25/08/2014

Valse, le grand Guignol !

 

A remémorer mes souvenirs  d’enfance ; Et ne dit-on pas que plus on vieillit, plus on retombe dans cet état.

Donc, rappelez-vous, vos sorties pour aller voir et entendre Guignol.

Eh bien E. Valse, nôtre ; ancien, future premier ministre à « la gueule de l’emploi ».

Il incarne dans son physique, comme dans son parlé cette égérie de notre enfance.

Il singe à merveille ce « Gnafron ».

Voilà ce que je ressens quand je vois, quand j’entends les bouffons qui nous dirigent.

La France se donne en spectacle. Nos dirigeants organisent des pitreries.

Pourtant cella pourrait se révéler comique si la vie, l’avenir de millions de nos concitoyens n’était en cause.

Que cette,  pseudo gauche mène une politique de droite, aux services des nantis et du Capital ne nous change guère de ce que faisait son prédécesseur, le petit Sarkozy.

Que cette politique Européenne serve les patrons et qu’ils s’en réjouissent  allant même à demander encore plus de désindexations, encore plus de dérégulation, toujours plus de cadeaux, cella n’est pas nouveau.

La rigueur morale et celle de nos dirigeants n’a rien à voir.

Mais les sacrifices imposés aux  couches populaires,  les petites entreprises qui se meurent alors que l’état fait des cadeaux royaux  aux grands groupes, est une honte pour ces nantis.

Les jeunes qui malgré les discours sont laissés pour compte.

Il faut changer tout cella, il faut abandonner cette Europe qui ne réclame que ruine et   méfaits.

Il faut relancer la croissance, en valorisant le travail ; Rendre les gens responsable.

Il faut  refinancer des grands travaux, porteurs de lendemains  et de développements.

Il faut reconstruire un tissu sociale, donner de l’avenir à notre population.

Favoriser la recherche.

Les grands patrons ont ruiné notre pays le menant à la faillite, ils ont sabordé les entreprises, pillés les  richesses et ils accusent les salaries, alors qu’ils les jettent par milliers dans les poubelles de leur profits.

La France hier qui construisait le TGV, achète ses trains au Canada.

Bradant des fleurons d’entreprise comme Alsthom, et autres.

Il faut que l’argent du capital, ces sommes monstrueuses,  versés en dividendes aux actionnaires par les  grands groupes doivent être mis pour développer la protection sociale, et développer la médecine en lui donnant les moyens, comme l’éducation.

Bref je ne suis pas économiste, et ceux-ci d’ailleurs n’ayant pas réussi dans leur analyse  comme le montre l leur bilan.

Ouvrons la sixième république pour l’avenir, pour tous, mais surtout pour ceux qui souffrent de ce monde malade, de ses dirigeants incapable Si l’ENA et autres grandes écoles conduisent aux résultats affichés, alors renvoyons lés sur le banc des écoles primaires certes mais bonne pour l’entendement et le résultat.

 

G.B.

 PS; Aurait-il changé ? Ferait-il mieux pésident ?

Publicité
15 janvier 2017

Ce à quoi je m'engage !

Voilà, Mesdames, Messieurs vous l’aurez compris en cette période de vœux, chacun y va de ses bons mots de ses prédictions de ses élucubrations, de sa volonté farouche à vous apporter tout ce que vous ne cherchez plus, bonheur, amour, bref déjà le ciel et les bénéfices de leur religion.

Fadaise, de monts et merveilles, bref ils se font plaisir pour vous faire croire que tout ira bien.

Bref, si tout n’est pas rose, d’aucuns prétendront changer notre vie.

Personnellement je choisirais qu’elle ne changeât pas trop.

Certes, mon petit confort, doublé de ma tranquillité d’existence font que je ne prétends à rien autre.

Au mieux une légère augmentation de mon pouvoir d’achat quelque peu érodé depuis trois ans ; période de disette et de restrictions budgétaires. Enfin pour le peuple, les nantis pour eux ça baigne.

Pendant ce triénat mon boulanger s’est augmenté de 20 %, à moins que ce ne soit son grand moulin bref ! idem pour le gaz et l’électricité. Ils nous ont obligé de changer la télé, les ampoules de nos lampes, oh, nous aurions pu choisir de revenir à la bougie.

Je sais l’Afrique peine à s’équiper. Pour nos marchands la rentabilité immédiate n’étant pas assuré, ils ne se précipitent pas sur ce marché.

 

Coté de nos dirigeants, ceux des grandes entreprises ont vu leur rémunération multipliée par 600. C’est petit mesquin, il paraît qu’ils n’arrivent pas à la cheville des ceux-ce des Stats : Alors, hein bien sûr.

Le chômage augmenté de 150 %.

Le prix des transports à bien dû croître de 12%.

Dans quel monde vivons-nous, on se le demande ?

Bon cela dit les promesses pleuvent, en cette année électorale ce sera ceinture et bretelles pour les uns ; Et lâché du leste pour d’autres.

Je ne crois plus en eux ils ont prouvé leur piètre utilité que seul les patrons reconnaissent.

De baisses de charges en crédit d’impôts en cadeaux en tout genre.  Merci patron.

Or donc nous pauvres péquins, tous ces sans dents, ou pus la sueur, minables. Nous qui osons prétendre à nos RTT ; Nous qui sommes dirigés à coup de 49,3 ( c’est la température dans l’hémicycle, et la note de nos dirigeants)

Nous rebelles avec pour seul pouvoir le pavé de la rue. Certes, le boycott existe, et est une arme redoutable, mais nos petites gens préfèrent le crédit, éducation et publicité, et système bancaires oblige ; Les salauds ils vous ont bien travaillés.

Nous gens ordinaires sans avenir, même si l’on nous bassine avec l’évolution de notre longévité, voilà de la belle ouvrage, quelle chance, nous vivrons tristes, seul, chômeur,  mais plus longtemps.

Bravo la vie.

Pourtant, que surtout qu’ils ne touchent plus à Notre SECU, à nos retraites.

Bon pour ça je ne vous donne pas la solution, simplement, ouvrons les yeux, nettoyons nos oreilles.

Ne vous en laissez plus compter par la télé, et ces médias ; Enfin les grands pontifes ; qui irradient nos cerveaux de leur venin.

Partageons l’avenir en commun, offrons-nous ce luxe.

Et bien sûr,  j’ose croire encore qu’une autre voie est possible, que la gauche elle existe, que le peuple peut changer la vie, notre vie ; Offrons-nous nos envies. France insoumise et peuple souverain ; Allez debout.

 

G.B.

 

N.B : Les chiffres donnés ne le sont qu’approximatif, je ne suis pas économiste. Et l’insee calcule autrement.

 

9 juin 2016

Une grève pourquoi ?

 

C’est honteux et scandaleux la manière avec laquelle les Medias traitent les grévistes et particulièrement leur organisation syndicale de lutte de classe qu’est la C.G.T.

 Des travailleurs dignes, responsables, et qui rappelons-le, perdent chaque jours des centaines d’euros.

J’ai honte pour notre démocratie et ses rouages qui sont à la botte du pouvoir et du grand patronat.

Je ne supporte plus « ces médias médiocres », ces journalistes courroies de transmission du pouvoir et du grand capital.

Le peuple soutient les grévistes, oui il rejette massivement la loi El Khomeri.

Une loi qui fait encore reculer le droit du travail,  tout cela à la demande de l’Union Européenne, qui prétend à niveler par le bas les acquis des salariés.

Les salariés luttent de toute leur énergie pour, faire retirer cette loi.

Et que dire d’une coupe de foot mise en danger, alors que tant de vies d’avenir sont en jeu.

Il faut boycotter ces conneries, médias et joueurs millionnaire qui courent derrière une baballe.

Il faut assurer un vrai pouvoir aux travailleurs, aux salariés, aux citoyens.

Les jeux défouloirs de nos jeunes, ces jeux miroir aux alouettes qui réduisent les esprits au lieu de les  grandir et de les ouvrir.

Il faut une éducation solide et une vraie culture générale, voilà qui sauvera et assurera l’avenir de nos enfants, et que l’on ne nous égare pas avec leurs écoles cultuelles, créant la zizanie et la confusion.

 

L’école doit rester :  Voir redevenir laïque et porteuse de valeurs, et d’avenir.

Le sport doit être un jeu et un entretien physique.

Et les journalistes plus critiques et plus vertueux.

 

G.B.

7 décembre 2015

La déculottée !

Ainsi il faudrait au nom de je ne sais quel « front républicain » j’aille voter, pour défendre, voir soutenir cet esprit de gouvernement.
Ceux là même qui depuis des années, prônent et distillent ; Austérité, mal vivre.
Ils ont mis en place cette montée, cette poussée inexorable du Front National.
Maintenant ils crient au Feu, et attendent que le peuple vienne par sa sagesse redorer l’état de la République.
Ils nous font marcher, au nom de leur drapeau, au son de leur Hymne.
Aujourd’hui, deux fronts mettent la nation en péril.
La poussée extrémiste, avec la radicalisation de certains jeunes, délaissés, oubliés par cette République, récupérés par des croyances d’un autre âge.
Les autres, ces « petites gens » lassés par leur ouverture des frontières.
Ces moins que rien, ballottés de petits job, en vie de galère.
Ils ont joué avec le feu et tel le pompier pyromane, il crient alors que l’incendie fait rage.
La France, comme les autres états de la « globalisation », de la misère sociale.
Ces pays, dirigés de l’extérieur, par des forces du profit et au nom de leur rapprochement, ils écrasent nos consciences, et musèlent nos critiques…
Ils nous privent de nos valeurs.
Etat d’urgence, oui il serait temps mais , urgence sociale.
Voilà pourquoi je ne répondrais pas à leur attente.
Je ne suis pas un pion sur leur échiquier.
Aussi, s’ils peuvent envoyer leurs porte-avions, leur armé contre cet ennemi qui les mine.
Ils ne pourront pas influer sur un état d’esprit. Un état critique.
Fut-il néfaste et dangereux comme celui que représente le populisme.
Le monde court à sa perte, ils ont déréglé le climat, ils ont réduit l’humain à l’état de bêtes
Comment redonneront-ils une conscience aux individus.
Allez réunissez-vous, le ballet de vos grands guignol est trop beau., et vous pensez ainsi être sur le devant de la scène. Triste sir.
À VOTE !

22 octobre 2015

Et si dieu avait gagné !

Ainsi les croyants de tous crins, montent en visibilité.

La fin du vingtième siècle après ce que l’on a appelé « les trente glorieuses »

Montrait une perte d’influence.

Nos églises ne faisaient plus le plein, et il fallait chercher partout comment recréer des vocations.

Pendant ce temps, la pensée offrait toujours plus et d’explications et de justifications quant à l’origine de notre existence, et sur la création du monde.

Bref, nos croyants, s’ils ne perdaient pied, se trouvaient de plus en plus marginalisé.

Chacun essayait de trouver une justification à sa foi, voir à son détournement des croyances

La raison, comme toutes les thèses matérialistes, prônait un débat sur les seules valeurs humaines.

Les perpétuels conflits mondiaux, comme les phénomènes naturels, Sécheresse, séismes, et autres catastrophes naturelles, n’étaient plus le fait d’une certaine divinité, mais l’explication logique, ou des mouvements de l’écorce terrestre, ou des  phénomènes climatiques engendrés par les destructions, voir les manipulation de l’espace naturel. (déforestation, constructions à outrance et « bétonnisation» des cotes et du littoral.

L’homme ainsi modifiait les données qui allaient perturber son évolution.

Pourtant il restait maître de son destin.

Il n’en restait pas moins que l’homme pilleur, pollueur avait pris le pas sur l’humain intelligent, raisonnable, sensé.

Il voulait tout dominer, maîtriser, même ses propres congénères.

L’homme de bien avait fait place à l’homme du bien.

 

Alors le pauvre, le soumis avait repris le sens de la religion, il se réfugiait dans un nouveau système passéiste, dans un repli de l’oubli, dans un futur imaginaire.

Dans un besoin de compensation.

Les dieux bénis, les dieux merci avaient repris le sens d’un nouveau destin.

Comme en plus l’enseignement, non seulement celui de nos éducateurs, mais aussi celui de la famille, semblait se déliter au travers des nouveaux jeux, des nouveaux médias, d’un reniement général, fi du passé et de son exemple.

Le No futur des années 1970 avait laissé place à un No-manland.

Tous ces systèmes d’Internet comme cette correspondance de virtualité ; offraient comme une porte étroite, parfois dissimulée, mais un passage divin. Une nouvelle perspective.

Le manque d’avenir et le communautarisme mis en place par la déliquescence des politiques ; Lesquels plus occupés de leur petit confort, ou autre pérennité que de s’occuper du bien public et collectif.

Les médias dans la grande marmite de l’histoire dédoublaient l’image des tenants des discours populistes et réactionnaires.

Ils montaient en épingle le mal vivre, et la désillusion.

L’Europe des nations avait fait place à l’Europe des économies.

Ces peuples, qui avaient reculé les frontières se trouvaient enfermé dans ses contradictions et seuls ses dirigeants se trouvaient dans une tour d’ivoire.

 

Notre règne ne savait plus distiller,ni perspectives, ni avenir.

Aussi les forces maléfices avaient repris le dessus ; Avaient redonné des illusions, cherchaient à fédérer les nouveaux templiers des temps moderne.

Chacun pouvait rejoindre ces croisés, prêchant, dans les déserts de l’aridité humaine…

Et dieux dans tout ça : Il a bon dos..

G.B.

14 octobre 2015

Le sablier du temps.

Je me tiens là, solidement campé,

Je m’arque boute, résistant,

Refusant ce temps qui passe

Et avec l’âge, sa vitesse accélère.

Je sens les grains si fin

Portés par le sablier de la vie.

Et se glissent  jusque dans nos jointures.

Maléfice, cruel qui nous use

Un peu comme nos souliers

Qui auront trop marché,

Nous menant parfois trop loin.

Ce mouvement perpétuel

Balancier qui sent un cœur qui saigne.

Approche sans concession

Remord, illusion ; Fatale appréhension.

Comme l’eau du torrent, devenu fleuve apaisé.

Ou bien la solitude qui nous retrouve chemin.

Certains pensent avoir trouvé leur ciel

Pour d’autres, petit astre, perdu dans l’infini

Qui finiront errant dans les ténèbres.

L’homme dure qui impose sa loi

Individu mesquin qui broie des vies.

Sacrifice de suppliciés, perpétuel tourment.

Image de déchéance,trahison insoutenable,

L’homme pure, crie sa liberté,

Et son bonheur essentiel d’aimer.

Il force le regard et prétend l’éternité.

 

G.B

14 octobre 2015

Emotions,

Une feuille de papier,

Quelques mots posés.

Oh crayon, cri du cœur,

Les gestes qui s’imposent.

Idées sans suite ; Jetées là,

Rassemblement, moments futiles ;

Égarement, illusion d’exister.

Phrases au long court,

Crions notre délire.

Simple péripétie de langage.

Adresse désordonnée,

Ou l’empreinte marquée

Fragile savoir, à vouloir partager.

Histoire de paraître, humanité précaire ;

Apparence incertaine, compagnon improbable

Le clavier a remplacé, Ce bout de mine grise.

Pourtant pensée et valeur ordonnée

L’auteur supplicie ses perfides penchants,

Méthodique, Il raisonne ses non-sens

Attribut la passion, de l’essence naît l’idée

Faire avancer un tant soit peu l’histoire.

Mon cerveau liquéfie le verbe

Je pisse des lignes, phrase le contexte

 Diatribes mes colloques ; Exhorte mes prétextes

Ma douleur se dilue, je touche enfin le fonds

Je perds la raison, inerte certitude

Je cache ma fièvre, et somme le ridicule

J’éructe des lambeaux de peau.

Et décroche le tableau, à peine sorti du cadre.

Regarde l’envers, décor intérieur

Et y cherche mon droit, l’œil au bord du vide

J’entends bien me montrer, un tant soi peu soumis

Comme précipice, je cherche profondeur.

Et me jette corps perdu vers mes attirances,

Dans ce que ma vie comme perte de sens.

Alors demain, éphémère indécence.

 

G.B.

2 octobre 2015

O douce France !

Je vous l’ai déjà dit : La France, par l’intermédiaire de notre « bien aimé Président » prépare la paix ;

Et, est à l’offensive tout azimute pour : faire régner celle-ci.

La France, enfin notre très cher Président ; envoi nos avions, ses pilotes, armés de missiles, et autre je n’y connais rien en arsenal militaire.

Or la France, pays libre et indépendant, qui n’a de compte à rendre à personne, joue à faire peur aux terroristes de tous crins, comme aux Islamiques guerriers et rebelle sur les terres de Laurence d’Arabie.

Cette France dont la grandeur n’est plus à prouvée, ni à mettre en cause ; Ne participe- t’elle pas fièrement à la coupe du monde de rugby.

Ne prépare- t’elle pas la Cop 21.

Ne préside- t’elle pas à la destinée de l’Europe.

Oh le doux pays de Voltaire, de Rousseau, voir de Mauriac, Sartre Camus.

Oh la France et ses monts et vallons.

Ses fromages et ses bons et grands vins.

Ce pays qui prétend aux droits de l’homme et s’enorgueillit de recevoir vingt mille migrants.

Aussi ,logique qu’elle critique Poutine et ses actions, ou plutôt exactions dans ce même tas de sable qu’est la Syrie.

Celui-ci avec une armée qui semble en imposer.

Des moyens, qu’il faudrait trente France pour égaler.

N’entendez- vous pas, nos avions en une seule sortie ont explosé Daesh et ses camps d’entraînements.

Alors que ces minables Russe ont manifestement décimé la population.

Se serait même ridiculisé aux yeux du monde.

 

Ben oui :C’est là ou l’on voit la grandeur d’un président.

N’est-ce pas ?

 

G.B.

Jean Ferrat-Ma France

 

27 septembre 2015

Ils ont encore frappé !

Dernière minute… Communiqué de l’Élysée…

La France a frappé à la porte de la Syrie. Pas de réponse.

Nos avions sont entrés en conflit contre … (indéterminé)

Notre puissance est allé porter un message de paix.

La France, qui vient de vendre trois Mirages et les deux vedettes Soviétique au Qatar et aux pays du golf….Ou à l’Égypte.

Tout cela pour montrer sa détermination à battre (en retraite) contre les terroristes de Daesh.

La énième bataille du Pétrole est engagée. Le prix de l’or noir va remonter.

Manuel Vals le nouveau Laurence d'Arabie !.

Nos gouvernants prétendent lutter ainsi contre la nouvelle «  marée noire » qui submerge les côtes Européenne.

La France une nouvelle fois vient de se créer un terrain d’essai, une base arrière pour l’entraînement de nos troupes d’élites. Nos soldats vont pouvoir encore aller piller et violer sereinement. Chutte c’est TOP secret défense !

Mais il n'y aura pas de troupes au sol !...

L’histoire, ni les journalistes, ni l’Élysée ne disent qui paiera la note.

À moins que ce ne soient les contribuables CQFD.

Cochon de payeurs va !

La France prépare un monde plus propre…

 

G.B.

25 septembre 2015

Ah ce système économique Allemand !

Si on en parlait, entre autre.

Tant vanté par nos politiques, des économistes, les médias.

Ah A Merkel et sa réussite.

Ah le modèle social Allemand.

Des voitures au sommet de leur popularité, de leur technologie.

Des bagnoles tellement plus solide que nos petites Française.

Le moteur de recherche, avec une autre conception.

 

Pan sur les doigts.

Pris les mains dans le moteur.

Dans le cambouis.

La triche généralisée.

Bon gaffe on n’est pas tout blanc, les nôtres d’industriels ils s’entendent sur le prix des yaourts, ou de la lessive.

Bon

Un grand patron, il n’a pas de frontière.

D’ailleurs n’ont-ils pas fait l’Europe du mensonge.

C’est bien Mas Triche !

Et nous guignoles ; Pantins, même pas capable de leur dire STOP, ça suffit.

Bien sûr ils nous promènent avec les « migrants ».

Leur monde crée la guerre, ruine des pays, des peuples et ils s’étonnent après de devoir accueillir, recueillir des êtres qui fuient.

Ils disent Fermeture des frontières.

Mais pour faire bonne mesure, montrer notre côté humanitaire, ils décident de devoir, pouvoir recevoir tant de ces exilées.

Comptes d’apothicaire.

Ils ont fui et comme une nouvelle marée noire qui se déverse sur nos côtes.

Cette Europe qui n’avait plus de frontière, sauf si…. Alors Tel Netanyahou, tel les Américains Ils construisent à la hâte, de kilomètres de barbelé.

 

Et en plus ils vont se réunir pour parler de l’état de notre planète : Non mais je rêves, ils l’à pillent, détruisent nos côtes, polluent rivières et océans.

Et ils vont se réunir pour dire il faut changer les choses.

Oui il faut changer ce monde.

Virer ces profiteurs, ces pollueurs, ces tricheurs.

C’est quoi un monde plus propre ?

 

G.B.

 

11 septembre 2015

Essai de reprise de mon blog

11 septembre 2015

Des Astres !

Au fil du temps,

Au fil des ans.

Je n’avance plus, je piétine.

Mes pas devenus plus lent

Tout mon être se tasse

Mon regard ne porte plus, 

Mes yeux ont rétréci l’horizon.

Mes errances se diluent.

Je vais indolent, sans but.

On ne rattrape pas le temps perdu.

C’est aujourd’hui le printemps,

Pour moi l’automne de la vie,

Désormais j’appartiens au passé

J’ai œuvré, conduits, tracé.

Et toutes ces étoiles au ciel,

Comme tant de gens brillant,

Que l’on dit avoir quitté nos lieux.

Petits astres luisants, comme bougies ;

Souvenir de toi, de lui des autres.

 

G.B.

 

10 septembre 2015

Jeu de mots !

Vos maux me pèsent,

Et si mes mots opèrent.

Pour vous suivre, j’obtempère.

Un peu pervers, je soliloque ou bien je vitupère.

Certes, je vous prends en exergue.

Bien que j’attende de vous comme un nouveau concept.

Le juste sens, où ce stupide prétexte

Je vous tiens comme en laisse,

Et me joue, de vos stupides complexes.

J’attends calmement qu’ils s’écoulent,

Mais pour ne pas être en reste

Je donne l’illusion du devoir accompli,

Parfois, simple savoir faire.

L’homme comme l’escargot, prétend laisser sa trace.

Laquelle révèle, comme un lourd passé.

L’expérience conduit, comme au bout de ses pages

À mener lecteur au profond de l’écrit.

Tyrannie du dico, à moins que l’imposteur correcteur

Nous offres, une pénible agonie, cherchant à semer le trouble.

Et le conditionnel, illustre tellement mieux,

Ce que l’avenir attend, même si le réel affiche l’incertitude.

Obsédante histoire qui nous oblige sans cesse.

À toujours nous reprendre, voir ressasser son texte ;

De revisiter les anciens pour retrouver un sens.

Pourtant les suivre comme douce astreinte.

Car c’est bien la contrainte qui nourrit le sujet.

Et de savoir en finir, cruel, point final.

 

G.B.

10 septembre 2015

Le prix de la ville !

Mesdasmes, Messieurs,
Ah ces fins de mois difficile, Ces budgets étriqués ou il faut compter, compter, repousser certains achats, pour une facture de gaz, d’électricité en augmentation.
Et la paire de chaussure du petit, éculées et déjà presque trop petite, ça n’a l’air de rien, mais c’est encore entre quinze et vingt euros qui s’ajoutent.
Ah toutes ces augmentations, 03 % à l’année qu’ils disent. Le panier de la ménagère, mon cul, mais c’est vrai que ces gens-là ils font pas les courses, tiens rien que le pain en début d’année 10 %¨d’un coup, on appel ça se faire rouler dans la farine !
Alors leurs comptes ils les arrangent comme ils veulent, n’empêche !
Tu parles on ne compte pas les sous de la même manière ; Pour sûr !
Pendant ce temps, tiens, ils viennent de couper des arbres, ça faisait vingt ans qu’ils avaient été plantés, commençaient à être beau, respectables.
Et ils nous mettent un panneau, ils vont refaire la chaussée, mettre des pavés, on voudrait bien leur jeter à la figure ces pavés, tout ça pour 250.000 euros, ben tient c’est avec nos impôts, facile pour eux, pas dure de gérer leur finance, ils pensent que c’est pour ça qu’ils ont été élus.
Bravo, Ah oui j’oubliais profession Politien.
On appelle, ça aussi des gestionnaires.
En place pour dépenser notre argent. Voilà où vont nos impôts, vous savez que tous les ans sont programmés des gros travaux. Pour cause ?
On En plus c’est l’entreprise, Jean Machin,qui hérite du chantier, tu crois qu’ils vont faire comme quand ils ont refait nos bords de Marne, un revêtement tout fissuré, il y à trois ans cet entreprise avait déjà récolté 500.000 euro d’argent publique ; Bizarre non ?
Et puis, la communauté d’Agglo, qui décide, fait faire les études, et, est maître de l’ouvrage ; tiens un financement louche. Ou une manière de s’auto- financer ; Pas con non !
Bon de toute façon c’est eux qui commandent, alors que faire.
Au moins parler dénoncer, dire raconter, informer.
Qui sait un jour une vie propre dans un monde honnête, allez jeunes je vous laisse ce monde pas beau hein !
Et pourtant toi tu n’as pas de boulot, alors tu la fermes toi aussi.
Eux ils sont payés pour ça.

G.B. 

10 septembre 2015

Ô temps suspend ton vol !

Pourfendeur F M I,
Comme d’autre Merkel, 
Pas préteurs, encore moins,
Généreuse, tout juste prêcheuse
Crâneuse, gagneuse, elle entend, 
Comme d’autre en leur temps.
Imposer leur diktat.
Mettre au pas les peuples
Semer la misère, démontrer
Son austère fonction.
Marchand d’armes, il faut bien 
Imposer sa vision.
Fructueuse mission
Encaisser la taille et la gabelle.
Étrangler les peuples.
Et grossir les caisses de son empire Nation.
Prélever l’impôt
Attentionnée suppôt,
De ces marchands roi.
Écoutez, c’est Merkel qui gouverne ;
Europe, au pas,
Elle prend sa revanche, 
De cette Allemagne de l’est 
Crée sur les décombres
De ces ruines National Socialisme.
Besoin de s’affirmer, envie de dominer
Voilà qu’elle entend 
Imposer un régime
Ô peuples généreux.
Ton histoire plaide
Berceaux des civilisations.
Et ce ne sont ni Zeus, ni Homère, ni Platon
A moins qu’un bon, Ulysse
Ou généreuse Aphrodite.
Tu su en son temps poser les jalons
D’un équilibre utile 
Entre peuple et nation.
Prêcher les vertus de la civilisation.
Et nous laisser ton emprunte.
Où Grèce rime avec Démocratie.
Le pouvoir appartient bien aux peuples.
Allez finance, reste là pour servir, Non pour te servir.

G.B.

9 septembre 2015

La balade de Codi !

Tu es Codi, mon nouveau compagnon ;

Coditza, car Roumain, de recueil en refuge

Tu as traversé l’Europe à la recherche d’une éternité,

Tu as subi l’errance de tous ces exilés.

Pourtant chien ; tu étais condamné.

 

En ce long jour d’été ;

Le vent fait frissonner les herbes folles

De ces vastes prairies, que le faucheur

À oublié d’en terminer la coupe.

Cachant quelques hérons sereins,

Lesquels maladroit, décollent,

Comme une critique,

De traverser leur lit pâturage.

Ces grandes herbes, déjà paille

Proposent un décor de fin de moisson

Un oiseau pousse un long cri strident

Un écureuil passe, se faufile

 Et grimpe habile, léger, s’arrête, mi-hauteur,

 Et d’un rapide regard apprécie le danger

Pour disparaître dans un feuillage épais de certitude.

La forêt cerne ces vastes étendues,

D’herbes, de graminées et de fleurs mêlées.

Et de ces bois dans lesquels les arbres

Précipitent leur course vers ce ciel.

À peine agité, les lourdes feuilles couronnent

Comme un chapeau, offrant plus frais

Sous les arceaux de leurs ramures.

Même l’eau de ce petit ruisseau semble figée

Comme si elle avait été absorbé par la terre.

Et repose tranquille, transparente, nonchalante.

À peine troublée par un frisson d’araignée.

Cercles concentriques qui déroulent leurs cibles.

Le soleil gagne et étend son emprise.

Le silence accable, comme cette chaleur.

Et nos pas plus lourd, cognent, et heurtent le sol si sec

Que la terre fissure, comme vieille croûte

Qui risquent de finir, poussière.

Nos gestes, lents répondent à cette ambiance pesante.

Le chien, obligé, me reproches, de l’avoir sorti,

Tète basse, la langue pendante

Il suit, comme toujours collé à mes basques.

Il est là sans calcul, comme une ombre

Dévoué, généreux, Il se repose sur mes désirs.

Il attend, propose un regard, toujours disponible

Il comble solitude, rassure de sa présence.

Et témoigne en frétillant sa courte queue.

Il nous offre compagnie, et comprend nos envies.

Il est, besoin de sortir, mais sait attendre,

Et jamais un reproche ; Merci mon chien.

Je t’ai offert de partager ma vie,

Et te faire oublier ton périple passé.

 

G.B.

Publicité
Le petit coin du râleur.
Publicité
Newsletter
0 abonnés
Publicité